Quote Originally Posted by Egeil View Post
Mais c'est cela que certains ne comprennent pas. Un mmo c'est une forme de cercle vertueux. Le jeu prend en notoriété, gagne des clients, en perds quelques uns mais il se renouvelle, il est rentable, donc profit et investissement disponible mais si la tendance s'inverse à cause de sous-investissement, les gens abandonnent, la tendance du bouche à oreille s'inverse de bon jeu à mauvais jeu et on amorce le cercle vicieux. Il y a d'ailleurs un célèbre mmo, titan parmis tous les autres, qui justement de notoriété "excellent" est passer à "jeu à fuir"
Et lui aussi devait se dire "cela n'arrive qu'aux autres ce genre de mésaventure, moi cela ne sera pas le cas, j'ai une commu résiliente"

Enfin bref, perso je n'ai plus le temps là. Et c'est malheureusement stérile d'échanger avec certaines personnes de ce forum.
Le problème étant que, pour le "Titan" en question, la chute a été provoquée suite à des années de mauvaise gestion communautaire et de décisions hasardeuses.

Rien à voir, donc, avec un mauvais lancement épisodique.

Seconde chose : on ne vous reproche pas de réclamer un service. Nous aussi on est bloqués dans les queues ; nous aussi ça nous gonfle. J'ai énormément de boulot en ce moment, et je peux commencer à me connecter vers 20h (et encore). Je te laisse calculer le temps de jeu maigrichon que ça me laisse chaque soir. Quand j'arrive à entrer.
On vous reproche de ne pas prendre un minimum de recul. La nuance est importante. En l'occurrence : tu reproches le manque d'investissement, mais personne ici n'est en mesure d'affirmer clairement d'où vient le problème. Mauvaises décisions de la part des gestionnaires ? Ou réelle conséquence de la pandémie, que rien n'aurait pu empêcher ?

Si c'est la seconde option qui est la bonne, les réclamations qui sont faites n'ont aucun sens. Disons que ce serait l'équivalent d'un client SNCF qui beugle contre un employé qui n'a pas su empêcher la foudre de s'écraser sur une ligne de tension (j'aime les comparaisons dramatiques). Pour moi, il est là le problème. Le sentiment de se retrouver face à une vague de mécontentement qui, en réalité, serait présente même si la boîte n'y pouvait strictement rien. Et qui dépasserait donc les bornes : à l'impossible nul n'est tenu.

Et si je suis convaincue de la nécessité de se faire entendre, l'attitude qui consister à penser qu'on peut tout réclamer du moment que l'on paye m'est beaucoup moins sympathique.