Concours d'histoires effrayantes - Sujet de participation

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Yselia Allende
Moogle
Barde Noble

Le soir de la Veillée des Saints, un gridanien a été retrouvé mort dans la cuisine de sa maison. Il vivait seul avec Yselia. L'homme n'était pas de nature facile et il maudissait les enfants. Le 31eme soleil au matin, l'homme avait minutieusement inséré des morceaux de verre dans des pommes qu’il prévoyait distribuer aux enfants de l'Amphithéâtre de Mhi Khetto le soir venu.
Yselia qui s’opposait fermement aux actes criminels de son mari grincheux décida d'arrêter le massacre prévu par le vieil homme. Elle lui prépara sa tarte préférée et l'invita à en dévorer une bonne pointe au dessert, juste avant que les enfants ne viennent frapper à la porte.
L'homme, qui à la manière d’un porc prenait d’énormes bouchées de tout ce qu’il ingérait, demanda à sa femme juste avant d’avaler :
"Mais où as-tu pris les pommes pour faire la tarte, je les avais toutes prises ce matin ?" C’est en ingurgitant qu’il se trancha la gorge de l'intérieur...

Super Pucelle
Moogle
Barde Noble

C'est l'histoire d'une Roe qui n'a tellement pas d'imagination que c'en est effrayant. Le plus terrible c'est que pour gagner un concours d'histoires elle va juste espérer que le nombre de participations ne dépasse pas celui des récompenses...

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Bon et bien, j'me lance : (pour la créativité chui d'accord, mais pour l'humour, j'avais la flemme de refaire mon texte alors je vais tout miser sur la créativité XD)

Comme chaque année lors de la Veillée des Saints, à la demande de l'Ordre des Deux Vipères, Elvalia en profitait pour bannir le mal régnant dans les annexes du manoir des Haukke. Bien qu'étant une surineuse chevronnée, cette excursion annuelle ne lui procurait qu'effroi et terreur. Pire encore, cette sensation ne l'avait plus quittée depuis avoir résolu la sinistre histoire de ce manoir. Mais pour une raison inexpliquée, bien que le mal de la demeure principale s'était estompé, celui des annexes demeurait tangible et se renforçait au fur et à mesure que la Veillée des Saints approchait.

Se dirigeant à contrecœur vers le manoir, son trajet s'accompagna d'un sentiment d'effroi. Ce n'est qu'en arrivant dans la cour de la demeure qu'elle identifia la cause de son malaise*: un Ahriman, volant au dessus d'elle, observait ses moindres faits et gestes. Mais il lui semblait différent de tous ceux qu'elle avait rencontré. D'un noir de jais avec un œil d'un rouge intense, il la fixa un instant, puis disparut dans un nuage de fumée sombre.
S'étonnant de ce spectacle, et rassemblant son courage pour surmonter son sentiment de peur extrême, Elvalia décida de faire face à son ennemi et se dirigea vers les annexes. Poussant la porte du bâtiment, un silence pesant régnait à l'intérieur. Progressant prudemment dans le couloir principal , un léger bruit lui parvint : un murmure à la fois envoûtant et effrayant se faisant entendre devant elle, dans la salle suivante.

Ouvrant la porte en silence, elle identifia la source des chuchotements. Devant l'âtre installé au bout de la salle se tenait l'Arhiman, afféré à une invocation, un sceau impie légèrement brillant s'étendant sur le sol. Identifiant la substance formant le sceau d'invocation comme étant du cristal, ce même cristal servant à invoquer les Primordiaux, Elvalia n'hésita pas un instant. D'un mouvement vif, elle s'élança dans la salle, parvenant à la hauteur du démon en quelques instants, lançant une volée de dagues dans son dos.
Au moment où les dagues touchèrent sa cible, une impulsion psychique se répandit dans toute la salle, projetant tous les meubles de la salle contre les murs de la salle et touchant l'aventurière de plein fouet.

Lors de l'impact, elle sentit un déferlement d'émotions sombres telles que la haine, la terreur et la colère l'envahir, pour faire place subitement à un sentiment d'allégresse intense. Ces émotions lui firent se souvenir les paroles d'un élémentaliste*:
«*Viens en aide aux esprits de la forêt et ils t'aideront.*»
Au plus profond d'elle-même, elle sut presque instinctivement que la terreur et l'effroi qu'elle éprouvait depuis tant de temps s'estompaient, afin de faire place à un grand vide qui ne demanderait plus qu'à être rempli d'aventures aussi bien passionnantes qu'éprouvantes.

Nom de personnage : Elvalia Lyanolyn
Serveur : Cerberus
Objet souhaité : Barde Noble

Juliam Bonaparte
Phoenix
Lige des immortels

Première partie

Les Lueurs du crépuscule venait à peine d'apparaître dans le désert de Sagoli lorsque un guerrière de la tribu des U se rua vers l'Oasis Oublié. Très effrayées, la miqu'ote raconta avoir vu un monstre géant aux yeux démoniaque et crachant des flammes. La créature n'avait pas réagit a ses attaques et, tel un zombie avait continué de l'attaquer. Le chef de la tribu, conscient du danger demanda au marchands uldiens présent dans l'oasis de contacter les immortels. C'est ainsi que le lieutenant Juliam Bonaparte, originaire de cette même tribu fut informer des faits. Cavalant sur son fidèle draconide, Juliam interrogea les témoins. Selon les dires, le monstre apparaîtrait le soir, au Sud de l'oasis, près d'un grand rocher.

L'héroïne s'arma de patiente et attenda à l'endroit prévu. Alors que l'astre nocturne trônait haut dans le ciel, une ombre surgit devant Juliam. Celle-ci s'arma de son épée et trancha la bête en deux dans un coup violents. Ce qu'elle vu la stupéfia. Le monstre n'était en fait qu'un cadavre de draconide géant qu'un lalafell avait aménagé. Le sacripant avait trouvé un filon dans un rocher de granite, il comptait faire fortune avec les diamants ramassés mais, ne voulant aucunement que son trésor soit découvert, il fit croire qu'un monstre rôdait autour dans le désert à la recherche de chaire fraîche. Son avidité ne l'a pas amené très loin car les précieux pierres furent rendu à la tribu des U avec l'immense carcasse de draconide.

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Objet souhaité : Barde noble

Personnage : Narumi Aoimoku
Monde : Shiva
Objet souhaité : Barde noble


Pour Narumi, ça avait commencer comme une soirée sympathique. La roegadyne savourait simplement l'acquisition de son appartement à Brumée avec quelques amis. C'est une fois que ces derniers l'eurent quittée qu'un étrange sentiment de malaise s'installa, comme si une force ténébreuse s'était étendue aux alentours. Elle sortit donc de son appartement et fût surprise de ne voir personne dans le hall d'entrée. Une légère panique commença alors à monter en elle.

Elle ouvrit les portes du Mât de Hune. Un épais brouillard aux couleurs surnaturelles avait envahit les ruelles de la petite zone résidentielle. Mais, prise d'une poussée d'adrénaline si typique des aventuriers, elle décida de s'enfoncer dans ce nuage de ténèbres. La jeune femme parvint tant bien que mal à atteindre la plage où elle pensait trouver quelques résidents qui aurait été piégés ici par le brouillard alors qu'ils profitaient de la mer. Elle n'entendit absolument aucun son, que ce soit durant le trajet ou en arrivant sur le sable.

Elle ne comprenait pas ce qui se passait dans ce village pourtant protégé par le Maelstrom et habité par des aventuriers chevronnés, censément un des lieu les plus sûr d'Eorzéa, et pourtant, personne, rien d'autre qu'elle et le brouillard sombre.

C'est alors qu'elle avançait effrayée le long de la plage qu'un son très faible, mais parfaitement audible dans le silence absolu qui l'entourait, la fît sursauter de peur. C'était un petit cliquetis provenant de la mer. Bien que terrorisée par ce qui était en train de se produire autour d'elle, la jeune femme avança lentement vers la source de ce qui troublait le silence. Le sable semblait étrangement humide sous ses pieds Une fois arrivée, elle vit une silhouette squelettique aux yeux d'un rouge brillant se tourner lentement vers elle. La terreur pris alors le dessus et elle se retourna pour fuir, elle vit ainsi que la brume s'était évaporée, laissant place à un décor plus terrifiant encore.

Le sable était imbibé de sang, et des éclaboussures recouvrait chaque murs de Brumée. Des cadavres mutilés jonchaient le sol. C'était la vision la plus horrible qu'elle ai vu de sa vie entière, et elle ne s'entendit pas pousser le hurlement de terreur qu'elle fît. Elle se mit alors à courir vers les hauteurs, pour atteindre la sortie du village, mais la silhouette la rattrapa et l'empoigna alors qu'elle était encore sur la plage et la Roegadyne perdit alors connaissance.

Lorsqu'elle reprit conscience, tout était revenu à la normale. le sable était à nouveau sec et aucun cadavre n'était allongé sur le sol. Ce qu'elle avait vu était-il réel ? Elle n'avait jamais fait de cauchemar qui lui avait semblé aussi vrai, mais pourtant, tout était parfaitement normal... A l'exception du petit cliquetis qu'elle pouvait toujours entendre dans la mer.

Le Guerrier du Chaos

Magik Sigma

Moogle

Ras de cou Arhiman

Cette Histoire se passe en Eorzea dans la deuxième dimension parallèle crée lors du second fléau. Dans cette dimension, le conflit Lumière et Ténèbre n’existe pas puisque les deux éléments ont parfaitement fusionnés au point d’en arriver finalement à une nouvelle force, le Chaos. Il n’existe donc pas des Guerriers de la Lumière mais bel et bien des Guerriers du Chaos. Cette équipe au nombre de quatre lalafells tous plus talentueux les uns que les autres se reconnait par leur fidèle pompon mog qu’ils ont attaché en serre tête ce qui leur permet d'avoir le pouvoir de la magie bleue.

Récemment, leur dernier exploit les a conduits à vaincre l’Arhiman Draconique Doggnih qui menaçait la sainte ville de Gardish. Ils ont, en fait, grâce à leur magie Bleue apprit la capacité de Pétrification faisant en sorte que l’Arhiman Draconique perde son œil dans la bataille.

Ils sont donc venus voir le célèbre forgeron éorzéen Tloreg pour permettre de créer le magnifique ras de cou Arhiman légendaire car il lui manquait bel et bien le dernier objet pour le créer l’œil du tout puissant Doggnih. Il remarqua que bizarrement l’œil semblait être encore vivant.

Quelques années plus tard, le Guerrier du Chaos Kigam Amgis portait ce magnifique ras de cou. Étrangement, la légende n’indique pas comment il a pu être le dernier représentant de son espèce. Tout indique qu’il est parvenue à vaincre définitivement tout ses ennemis au point qu’il n’exista alors plus rien mis à par sa propre folie que le sordide ras de cou était parvenu à mettre en place. Il s’ennuyait ferme et il décida d’apporter son chaos où il irait. Le ras de cou qui lui parlait dans sa tête lui proposa alors de voyager à travers les dimensions grâce au pouvoir du sang. Il bascula tout d’abord dans le Néant où il fut rebaptisé.

C’est ainsi quelques temps plus tard Ferdiad, notre Ferdiad apparut lors d’un rituel dans le Château d’Amdapor. Le Guerrier de la Lumière et ses semblables l’ont donc vaincu. Pourtant, Ferdiad ne semble pas être totalement vaincu pour autant. Néanmoins, il a laissé un objet derrière lui, un splendide ras de cou qui semble être magnifique. Un tel objet ne donc revenir qu’à un Guerrier de la Lumière, non?

Personnage : Sl'ither Gadjio
Monde : Moogle
Objet souhaité : Barde noble

32e soleil de la 5e lune ombrale

La veillée des saints est arrivée. Je n’ai finalement pu empêcher la catastrophe de se produire. C’est probablement la dernière page que j’écris dans ce journal. Qui aurait pu penser que ce livre vierge deviendrait finalement mon dernier ami ici. J’ai froid.

Je ne peux m’empêcher de repenser sans cesse aux événements qui m’ont conduit ici. Comment après avoir combattu asciens et primordiaux déchaînés, j’ai pu laisser le monde périr… Est-ce ma faute ? Je ne vois personne d’autre qui blâmer. Le guerrier de la lumière qu’on proclamait dans les rues en me voyant n’aura finalement pas su sauver Eorzea. Je suis fatigué. Je vais essayer de dormir un peu.

Les cris dehors me glacent le sang. Impossible de fermer l’œil dans cette cave humide. Les gens pensent-ils que je les ai abandonnés ? Savent-ils seulement que je suis là ?
Une explosion vient de faire trembler les murs. Je vois par la lucarne donnant sur le jardin du vieux manoir des lueurs rougeoyantes faire danser les ombres du rosier au pied de l’arbre mort. Les fleurs semblent encore plus écarlates.

Je revois encore Alisaie me tendre la coupe de vin, me rappelant les dernières paroles de Louisoix. Certains choix demandent un sacrifice. Une vie pour sauver un monde. Savait-elle ce qui aller se produire ? Comment aurait-elle pu. Je revois ses yeux s’embuer de larmes, et son regard désolé lorsque sous l’effet du poison j’ai lâché mon verre qui laissait se répandre le liquide rouge comme une mare de sang. Ce poison Mighois, presque indétectable pour les avertis, et toujours fatal pour les autres, je le sens se répandre de plus en plus dans mes veines depuis. Je peine de plus en plus à tenir ma plume. Mais écrire ces quelques lignes m’apaisent. Ou en tout cas je dois me concentrer sur autre chose.

Peut-être aurais-je dû être plus attentif et m’apercevoir qu’Alisaie sombrait peu à peu sous les manipulations perverses des guerriers des ténèbres ? Profanant ainsi la volonté d’Hydaelyn et de Minfilia. Éteindre une lumière pour laisser s’immiscer dans notre monde un peu plus les ténèbres. Alisaie, pourquoi n’es-tu pas venue m’en parler ? Condamner notre monde pour sauver une dimension perdue… Et finalement tous nous perdre.

Les cris dehors s’intensifient. J’ai envie de hurler mais je n’en ai plus la force. Il me semble que le temps s’écoule différemment.

Je vois une lumière fantomatique dans les escaliers. On la dirait hésitante. Quelqu’un serait-il venu trouver refuge dans ce vieux manoir abandonné ? Je n’ai pas la force d’appeler. Je vais attendre un petit peu, voir si l’on descend. Je commence à avoir sommeil.

La lumière s’est éteinte. Et avec elle les flammes et le bruit dehors. Depuis combien de temps ai-je perdu connaissance ? Dehors tout est noir. Et la torche au bout du couloir fini de se consumer. Il ne restera bientôt plus que les ténèbres moites.

Je vais peut-être fermer les yeux.
Pardonne-moi Hydaelyn.
Pardonnez-moi tous.

Balmung Azursky
Moogle
Barde noble

Balmung était coincé dans cette cabane hivernale dans les Hautes-Terres du Coerthas central. Il faisait nuit, il faisait froid, la tempête de neige soufflait d’une violente rage. La chaleur des lampes et leur faible lueur instauraient une atmosphère inquiétante. Par accoups les murs en bois tremblaient et faisaient vibrer toute la pièce. Adossé et recroquevillé dans une couverture en laine, Balmung essayait de trouver le sommeil. Il peinait à fermer les yeux et à ignorer les coups de vents mais la fatigue était forte et commençait petit à petit à prendre le dessus. Alors que ses paupières battaient sur leurs derniers clignements et avant qu’il ne rejoigne le monde des rêves il aperçut devant lui une lanterne à même le sol. Cette lanterne n’était pas là il y a encore une seconde. Secoué par cette vision soudaine Balmung ouvrit bien grands les yeux et constata que la lanterne avait disparu après avoir balayé du regard toute la pièce. Son imagination lui avait probablement joué des tours. Il tenta à nouveau de fermer les yeux. S’isolant du bruit et du froid. Son corps se réchauffait à l’idée de se retrouver sur le sable brûlant de Costa Del Sol. Un drôle de bruit vint troubler cette douce image. Balmung sursauta au bruit d’un ricanement étouffé. Il ne trouva rien de bizarre autour de lui jusqu’à qu’il remarque un couteau ensanglanté posé sur le sol. Les lampes s'éteignaient une à une balayés par des souffles inconnus. Une lanterne s'alluma dans un coin de la pièce, la même qu’il avait aperçu tantôt. Pris de panique Balmung tenta d’attraper le couteau qu’il avait aperçu. La lumière était faible il essaya de le retrouver mais celui-ci avait disparu. Il pouvait voir la lanterne s’agiter dans l’obscurité. Une main pouvait se distinguer de plus en plus. Petite et fragile elle agitait lentement la lanterne d’un mouvement de balance ininterrompu. La lampe éclairait de plus en plus et il pouvait distinguer une créature haute comme trois pommes à la peau verte. Sa main gauche laissait apparaître le couteau ensanglanté pointé dans la direction de Balmung. Celui-ci essaya de s’éloigner de la créature mais il se cogna sur quelque chose en reculant ce qui le fit trébucher. Il avait renversé une lanterne. Une autre lanterne qui n’était pas là. Un ricanement surgit. Ce n’était pas la créature en face de lui qui avait émis ce bruit. Il essaya de se retourner mais sentit brusquement un déchirement. Un couteau lui traversait le corps. La douleur était trop forte. Alors que son esprit basculait dans l’inconscience il se rappela alors le nom de ces créatures. Ce sont des Tomberry.

On dit souvent qu’il y a des visages que l’on n’oublie jamais. L’histoire que je vais raconter aujourd’hui vous éclairera différemment sur cet adage.