[Màj 05/10/2017] Créations artistiques FFXIV

[Elmoria]

Bonjour,

Comme vous l'avez peut-être vu dans le journal d'Éorzéa hier, nous avons maintenant la possibilité de partager vos créations (1) sur le stream et (2) sur nos réseaux sociaux !

Si vous souhaitez que nous partagions vos créations, rien de plus simple : envoyez-nous un e-mail à l'adresse ci-dessous.

FFXIVCommunityEU@eu.square-enix.com

Tous les détails sont sur cet article Lodestone que je vous invite à lire si vous êtes intéressés !

==============================

Bonjour à tous !

Puisque je sais qu’il y a beaucoup de talents parmi vous tous, j’ouvre ce sujet dans l’éventualité où vous souhaiteriez partager vos créations diverses et variées.

N’hésitez pas à poster ici pour une chance de voir vos créations apparaitre sur les pages officielles Facebook et Twitter ! Si vous êtes timide, vous pouvez également envoyer un message privé sur la page Facebook de FFXIV.

Les dessins, sculptures, écrits, captures d’écran, vidéos etc. sont acceptés.
Toutefois, il est nécessaire de respecter la Politique d’utilisation des Matériels.
D’autre part, veuillez s’il vous plait éviter d’envoyer des reprises de musique inspirées de FFXIV ou toute autre musique n’étant pas liée au jeu comme indiqué dans la Politique d’utilisation des Matériels.

(Notez que tous messages n’étant pas en relation avec le sujet seront supprimés)

[alex4815162342]

partager vos créations diverses et variées

C'est uniquement du dessin ?

L'art sa touche pas mal de chose et de médias comme la musique, les vidéos, les écrits ... J'aimerais avoir plus d'infos sur ce qui est accepté dans cette section svp. J'aimerais bien participer mais perso je ne fais que du montage vidéo et des fanfics !

Désolé du HS !

[Elmoria]

Bonjour alex,

Ta question n’est pas hors sujet et c’est vrai que mon message n’est pas clair à ce niveau-là.
J’ai édité mon premier message et rajouté les détails nécessaires !

[alex4815162342]

Bonjour à tous ! Je me lance sur ce sujet (car il faut bien un 1er) ! Comme il est autorisé de poster du contenue littéraire et que je fais depuis peu des fans fic j'avais envie de partager avec vous mes écrits. Je suis un amateur et donc je n'ai pas le talent d'un écrivain, j'en appelle donc à votre indulgence.

Chronique d'Eorzea (Ne pas confondre avec les Chroniques Eorzéennes) est une fan fic (et un site) qui retrace l'aventure de mon personnage. Disponible depuis un moment sur mon site, je me lance depuis peu dans un prologue à mon histoire. Je commence donc ici directement avec le prologue plutôt qu'avec ce que j'appelle la saison 1.

Ma saison 0 du nom de Before Meteor retrace les événements d'avant le 7e fléau du point de vue du père de mon perso IG : E'ulbik Tia.

N'oubliez pas que tous les éléments sa tirée de FINAL FANTASY XIV (Politique d’utilisation des matériels) et que toute ressemblance avec un personnage IG serait pure coïncidence.

Je vous souhaite une bonne lecture !



Saison 0 : Before Meteor - Chapitre 1 : Qui est le chasseur ? Qui est la proie ?


Le soleil brûlant tu Thanalan lui frapper violemment le crâne, mais malgré tout, il ne pouvait pas sortir de sa cachette. Il avait trouvé refuge, derrière un petit rocher à la forme très singulière, alors qu’il suivait sa proie. Le draconide n’avait pas remarqué sa présence et creuser le sable de Sagolii comme si de rien n’était. Il s’était enfoncé très profondément dans les terres afin de pénétrer dans le désert. Il aurait très bien pus partir vers la côte au sud pour pêcher, mais son ventre réclamé des mets différents. Par chance, il avait trouvé un draconide isolée assez rapidement, ce qui lui avait évité de marché des heures sous un soleil de plomb. Alors qu’il guettait toujours dans sa cache le monstre, il révisa minutieusement son plan. Il attendrait que le draconide creuse plus profondément son trou dans le sable. Lorsque celui-ci aurait la tête ensevelie, à la recherche de sa nourriture, il bondirait d’un coup avec sa lance, afin d’asséner un coup puissant sur la créature. Il avait pleinement confiance en son plan. Il était suffisamment fort pour tuer l’animal d’un seul coup. De plus il savait que cette méthode était aussi utilisée par les chasseuses du village. Il ne pouvait donc pas échouer. Alors qu’il était captivé par les gestes du monstre, il fut surpris d’entendre un sifflement dans l’air. La seconde d’après, une flèche se planta sur le dos du monstre qui tressauta sous la douleur. Alors que le monstre poussa un cri, l’observateur resta sur place et constata qu’une nouvelle flèche percuta le monstre en pleine tête. Le draconide s’effondra, mort sur le coup. Il aperçut aux loin, deux femelles miqo’te équipés d’arcs et de carquois rempli de flèches. Les deux chasseuses une fois près du monstre, se tournèrent dans sa direction pour lui faire signe de la main. Il est très surpris. Comment pouvaient-elles savoir qu’il était ici ? C’est à ce moment-là qu’il reçut un coup sur la tête. Toujours dans sa position, il plaqua ses mains sur sa tête par réflexe et se retourna. Il avait était frappé par une troisième miqo’te armée d’une lance. Elle devait l’avoir frappé avec le manche. Elle avait un regard sévère et serré les dents. Très vite elle lui hurla dessus pour exprimer sa colère.

– Tu n’as absolument rien à faire ici ! Imbécile !
– Mais … je … balbutia l’homme
– Tu vas retourner au village avec nous tout de suite et tu iras voir le chef afin de te repentir. Il va te faire passer l’envie de fourrer ton nez dans les affaires des autres.
– J’ai pourtant rien fait de mal ! Je rends justement service !
– La ferme ! Maintenant debout et plus vite que ça ! grogna la chasseuse

L’homme se releva et se dirigea vers les deux archères. Sa tête lui faisait encore mal et il était suivi de très près par la miqo’te à la lance. Une fois près des autres chasseuses, l’homme s’abaissa vers le cadavre du monstre. Mais son geste fut interrompu par un nouveau coup de bâton sur la tête.

– Ne touche pas à ça idiot ! lui annonça la miqo’te

Vexé et se frottant à nouveau la tête, le jeune miqo’te se releva en bougonnant.

– C’était juste pour rendre service. Je voulais donner un coup de main pour le porté.
– Une fois encore, ce n’est pas à toi de t’occuper de ça ! Laisse nous faire notre travail ! Va plus loin et ne nous dérange pas !

Après quelques préparatifs les trois chasseuses firent signe au jeune homme d’avancée vers la direction du village. Celle à la lance leva son arme et se mit à le menacer !

– Surtout ne traîne pas et ne nous ralentit pas ! C’est bien compris Ulbik ?

Le jeune miqo’te se frotta de nouveau le sommet du crâne, malgré qu’il n’avait pas reçu de coup supplémentaire.

*



Le village était enfin à l’horizon ! E’ulbik Tia était très heureux de pouvoir enfin rentré, car cela signifié ce débarrassé enfin des trois chasseuses qui l’escortait.

– C’est bon je vous laisse ici, je peux faire le reste du trajet seul ! En tout cas c’était un plaisir de faire le trajet avec vous !

Alors qu’il commença à s’avancer plus en avant, la chasseuse à la lance le rappela vite à l’ordre.

– Tu restes avec nous ! Tu n’échapperas pas à ton châtiment. Le chef doit être informé de ton idiotie.

Ulbik soupira. Elle avait malheureusement compris son petit jeu. Il n’avait pas été très malin sur ce coup-ci. Si seulement il avait pu s’échapper. Il appréhendait de se faire à nouveau houspiller par le chef du village même si ce n’était pas sa première fois. Surtout que d’après lui, il n’avait clairement rien fait de mal. Mais telle était la loi chez les miqo’tes solaires. Ulbik avait vécu toute sa vie dans le village de la tribu des tritons aussi communément appelés tribu des « E ». Pourtant, il n’avait jamais vraiment réussi à parfaitement s’intégrer à la communauté. Ce petit village, a l’extrême-sud du Thanalan, était niché entre le désert de Sagolii et les côtes de la Mer de Cendre. Comme de nombreuses tribus miqo’te solaires du Thanalan, le village des « E » vivait encore selon les anciens rites de la tribu. Et cela, il n’avait jamais réussi a s’y faire. Chez les miqo’te de la tribu du Soleil, les mâles avaient les pleins pouvoirs et les femelles devaient les servir. Les femmes s’occuper d’absolument tout dans la tribu. De la cuisine en passant par les constructions, sans oublier la chasse et l’éducation des enfants. Pendant ce temps, les hommes vaqués à leur occupation et vivait la belle vie. En particulier le ou les « Nunh » du village qui avaient le privilège d’être les dominants et donc les géniteurs de nombreux enfants miqo’tes. Mais un Nunh n’était pas forcément appelé à être le chef de la tribu et en réalité peu y parvené. Le Nunh pouvait choisir quand il le souhaitait une femme afin de procréer et il était totalement exclu de refusé. Mais pour Ulbik, Nunh ne voulait pas dire grand-chose, car il s’agissait d’un titre qui changé très régulièrement de porteur. N’importe qui pouvait défier un Nunh et celui qui arrivé à le vaincre gagnait son titre, ainsi que ses terres. Quant au perdant, il redevenait un Tia. Il y a bien longtemps, le père d’Ulbik avait été le Nunh. Mais il avait était destitué assez rapidement par un autre, puis le nouveau fut à nouveau destitué, et ainsi de suite. Selon certains, ce processus garantissait un meilleur brassage génétique pour les générations suivantes. Ici chez les « E », il n’y avait qu’un seul Nunh et celui-ci était en toute logique le chef du village. Tout cela, le jeune Ulbik avait beaucoup de mal à l’accepter. C’est pourquoi régulièrement il participait aux activités des femmes. Il trouvait cela normal de répartir les tâches. Mais le village qui avait vécu ainsi depuis des siècles ne l’entende pas de cette oreille. C’est pourquoi il allait à nouveau subir la colère du chef. Il n’avait pas le droit de participer à la chasse. Alors qu’il arrivait dans le village avec son escorte, la tension montée. Très rapidement, le groupe se retrouva au centre du petit village. Le chef était présent, accompagné d’une chasseuse. Il examinait attentivement la prise de la femme qui était également un draconide. La chasseuse avec la lance s’avança vers le chef.

– Sans surprise nous avons trouvé le jeune E’ulbik Tia dans le désert, comme vous le soupçonniez.



Le chef qui était en posture accroupie se releva et marcha lentement vers la chasseuse.

– Tu nous ramènes quelque chose d’autre que ce petit coeurl sans valeur ? dit-il en regardant le jeune E’ulbik

Suite à ces mots, les deux archères déposèrent le draconide trouvé dans le désert. Le regard du chef se posa sur la carcasse quelqu’un instant, puis il posa sa main sur l’épaule de la chasseuse à la lance.

– C’est très bien ! Maintenant j’aimerais que tu nous prépares un somptueux repas. En attendant je vais m’entretenir quelques instants avec ce jeune Tia écervelé.

E’ulbik se mit à déglutir difficilement.

– Suis-moi jeune sot ! Nous avons une fois de plus beaucoup de choses à nous dire. déclara le chef tout en regardant le jeune miqo’te comme s’il s’agissait d’une proie.


A suivre ...

[Fossix]

Bonjour à tous.

J'en profite également pour apporter ma modeste contribution : un montage sur l'épopée de FFXIV entre la 2.4 et la 3.0 retraçant la situation générale.
Attention toutefois à la présence de spoilers. Vous voilà prévenus!

Vous pouvez voir la vidéo à cette adresse :
https://www.youtube.com/watch?v=yGiiIl1kmjE

N'hésitez pas à donner votre avis et vos critiques. Et si la vidéo vous a plus n'hésitez pas non plus a vous abonner à la chaîne : Certes modeste elle regroupe des vidéos de présentation de l'histoire mais aussi quelques sorties en CL.

[LucyHan]

Mon intro en mode fin de FFXIV !

https://www.youtube.com/watch?v=BUNIBcQgHLA

Puis une autre un peu longue mais que je vais sans aucun doute refaire plus courte bientot !

https://www.youtube.com/watch?v=cDkUENGI274

[managarmr]

chalut, quelques vieux dessins

[alex4815162342]

Saison 0 : Before Meteor - Chapitre 2 : Une promesse

Alors qu’il suivait le chef du village, E’ulbik tenta à plusieurs reprises de ralentir le pas pour ensuite disparaitre en toute discrétion. Malheureusement pour lui, le chef était rusé et avait ensuite demandé à E’ulbik d’ouvrir la marche. Arrivés dans la demeure du chef, de nombreux miqo’tes mâles déjà présents se levèrent pour saluer leur dirigeant. D’un signe de la main, il leur demanda de rester à leur place et de continuer de vaquer à leur occupation. Il lança ensuite un regard noir à E’ulbik.

– Une fois encore, tu es impliqué dans des tâches qui ne sont pas les tiennes. Quand comprendra tu que ce n’est pas à nous les hommes de faire ce genre de chose ? Tu as la chance d’être un miqo’te de la tribu du soleil et d’être un mâle. Profite donc de ton statut !
– Profité ? Pour vous profiter de la vie se résume à se vautrer dans un fauteuil et à vous empiffrer ? déclara Ulbik

Les autres miqo’tes dans la demeure furent choqué par les paroles du jeune homme.

– Ce sont les privilèges que nous accordent les dieux ! Nous sommes des hommes et nous devons faire ce que l’on attend de nous ! Dominer et diriger ! Nous perpétuons les traditions de nos ancêtres et toi jeune insolent en agissant de la sorte et proférant de telle aberration, tu craches sur ton héritage.
– Je ne peux pas faire comme si de rien n’était ! Je ne peux pas aller contre mes idées et mes pensées.
– Comment ? Tu à donc honte d’être un miqo’te du soleil ? questionna le chef en serrant les dents
– Non ! Mais j’ai honte de devoir vivre dans un clan qui vit dans le passé.

Le chef repris son calme et croisa les bras en signe de désapprobation.



– Qui crois-tu être pour juger notre façon de vivre ? Tu n’es rien ni personne, pour juger ainsi nos coutumes. Tu n’es même pas un Nunh ! Comment un homme comme ton père a-t-il pût engendrer une lavette comme toi ?
– Mon père était tout aussi idiot que les autres Nunh ! C’était un égoïste !
– Il suffit ! hurla le chef

Le chef se retourna vers les autres miqo’tes présents dans la maison et leur demanda de partir, le laissant seul avec E’ulbik.

– Je ne peux pas tolérer qu’un révolutionnaire aux idées fantasque ruine tout ce que j’ai bâti.
– Vous oubliez les anciens Nunh ! Vous n’avez fait que poursuivre et entretenir leur oeuvre.

Le chef avança d’un pas vers E’ulbik l’air menaçant.

– Pour être Nunh, il faut avoir vaincu un Nunh ! Cela veut dire que chaque nouveau Nunh est supérieur aux anciens. Ce qui fait de moi, le Nunh le plus puissant de tous ! Si tu veux gouter à ma fureur continue sur cette lancée. Je me ferais une joie de te montrer ce dont je suis capable.

E’ulbik transpira à grosses gouttes. Il était vrai que le chef était à ce poste car il était un puissant guerrier et Ulbik savait qu’il n’avait pas la moindre chance de l’emporter contre lui s’il devait se battre. Cette menace avait réussi à calmer ses ardeurs. Le chef reprit sa posture initial et continua :

– Si seulement je pouvais me débarrasser de toi je le ferais ! Mais je ne peux me séparer d’un mâle, nous sommes bien trop précieux pour ce monde. Mais retient bien que rien ne m’empêche de te faire vivre des humiliations terrifiantes.

E’ulbik baissa les yeux en signe de soumission. Il voulait que cette petite joute verbale se termine vite.

– Je m’excuse Ô grand Nunh ! Je vais me tenir et faire ce que l’on attend de moi.
– C’est ton dernier avertissement ! La prochaine fois tu subiras un châtiment.
– Merci de me donner une dernière chance ! Votre indulgence vous honnore !
– C’est aussi le rôle du chef de savoir faire preuve d’indulgence.

Il n’était pas très fier de lui, mais le léchage de botte avait porté ses fruits et le ton de la conversation avait baissé. Il allait pouvoir prendre congé et en finir avec cet interminable sermon.

– Tu peux prendre congé ! déclara le chef
– Merci !

Alors que le jeune homme tourna les talons, le chef l’interpela

– E’ulbik ! Attends un instant ! J’ai quelque chose à t’annoncer !
– Je vous écoute. dit le jeune homme, surpris
– Je vais me trouver une nouvelle épouse et j’aimerais que, comme tous les mâles, tu sois présent à la cérémonie.
– Comment refuser une telle invitation ? Merci ! Mais je peux vous demander qui est la nouvelle prétendante qui portera vos enfants ?

Le chef leva la tête et se mit à réfléchir.

– Quel est son nom déjà ?

Ulbik était choqué par un tel comportement. Le chef n’avait pas la moindre idée de comment se nommé sa future épouse ?

– Aide moi Ulbik, tu la connais il me semble. C’est la fille du Nunh qui avait vaincu ton père. Dit moi son nom.
– E’kahza Thoki. lui répondu le jeune miqo’te avec une voix étranglée tout en serrant le poing

*

Le ciel était couvert de nuages. Ulbik se dit qu’il devait s’agir d’un mauvais présage et oublia quelques instants, le soleil de plomb qui l’avait agressé plus tôt dans la journée. L’air était bien plus frais et respirable, ce qui rendait sa marche bien plus agréable. Il voyait le point de rendez-vous au loin et voyait qu’elle était déjà arrivée. Elle tourna la tête dans sa direction et lui fit un signe pour le saluer.

– Tu en as mis du temps ! Un petit souci avec le chef ? lui dit-elle d’une voix douce
– J’imagine que si tu me le demande, c’est que tu es déjà informé ?
– Oui, les chasseuses ont bien sur tout raconté à tout le monde. Comme je te l’ai déjà dit, c’est une honte de vouloir aider une femme. Tu ne te rend pas compte ?

Ulbik la regarda les yeux écarquillé, puis elle se mit à rire à pleins poumons.

– Si tu voyais ta tête ! C’était formidable !
– Je me disais aussi que ce n’était pas ton genre de t’exprimer ainsi.

Ils se mirent à rirent tous les deux de bon coeur. Il aimait beaucoup leur conversation. C’était pour lui un bol d’air frais. Cela avait commencé il y a quelques années déjà, alors qu’ils étaient tous les deux des enfants. Il venait souvent se réfugier dans ce coin, a l’extérieur du village, pour rêvasser ou tout simplement bouder. Alors qu’il c’était disputé avec son père au sujet de la place des mâles miqo’te dans leur société, Ulbik était venu ici pour se changer les idées et avait été surpris de découvrir une jeune miqo’te déjà présente sur place. Il lui avait dit qu’elle pouvait rester, alors qu’elle, ne voulait pas le dérangé. Puis, ils discutèrent très longuement et se découvrir beaucoup de points en commun. En effet E’kahza avait régulièrement des soucis avec son père au sujet de la place des femelles dans le village. Ils sympathisèrent donc très vite et échangèrent leur point de vue. Ils se retrouvèrent de plus en plus souvent sur ce lieu de rendez-vous, jusqu’à ce que cette habitude s’intensifie au point de se voir chaque soir. Pourtant, E’ulbik aurait très bien pus nourrir de la haine envers elle, car après tout, c’était son père à elle qui avait destitué son paternel pour devenir le nouveau Nunh. Mais les histoires de famille l’importait peu et seul pour lui comptait cette amitié grandissante. Plus le temps passé et plus leurs sentiments respectifs se renforcèrent. Dix ans plus tard, tout évolua sans surprise en sentiments très fort et en désir pour l’autre. Bien qu’ils ne l’exprimaient pas souvent, ils s’aimaient profondément ! C’est pourquoi E’ulbik avait eu beaucoup de mal à digérer l’annonce du chef des « E ».

– J’imagine qu’il te l’a dit ? murmura la miqo’te d’un air triste

Les rires avaient disparu bien rapidement ce dit E’ulbik.

– J’imagine que ce n’est pas d’aujourd’hui ? Pourquoi ne rien m’avoir dit ?
– Car j’avais peur.

Un long silence s’installa. Le poids de cette terrible nouvelle avait écrasé leur bonne humeur.

– Tu vas le faire ? dit Ulbik
– J’ai le choix ? Tu imagines qu’il est possible pour moi de dire non ? C’est sencé être un honneur d’être choisi par un Nunh. Tu imagines la honte sur moi et ma famille ? Je ne suis pas en mesure de refuser !
– Alors c’est comme ça que tu imagines ton avenir ? hurla le jeune miqo’te
– Mais je n’ai pas d’avenir ! En vivant dans ce village de sauvage, je ne peux pas avoir d’avenir ! lui répondit-elle sur le même ton

Kahza se laissa tomber sur le sol. Hurler de cette façon lui avait ôté toutes ses forces. Il s’en voulait de lui avoir crié dessus. Il était en colère c’est vrai, mais ce n’est pas à elle qu’il devait s’en prendre. Alors qu’elle séchait ses larmes, il s’avança vers elle et s’accroupi.



– Je ne peux pas imaginer un seul instant ce que tu vis en ce moment. Je suis vraiment désolé. Mais je vais trouver une solution, je te le promets. Laisse-moi faire et je te jure que jamais il ne te touchera. murmurat-il

[sephirotced]

sans animosité, tu devrais relire avant de publier tes textes, c'est plein de fautes, j'avoue avoir lâcher le morceau sur le premier post à cause de ça (bon je dis pas, j'en fait aussi mais c'est pas agréable sur un texte aussi long)

[alex4815162342]

sans animosité, tu devrais relire avant de publier tes textes, c'est plein de fautes, j'avoue avoir lâcher le morceau sur le premier post à cause de ça (bon je dis pas, j'en fait aussi mais c'est pas agréable sur un texte aussi long)

Je ne le prends pas mal, il n'y a pas de soucis.
J'ai un niveau de Français très faible et j'utilise donc un correcteur automatique mais ça reste une machine et ne remplacera jamais la maîtrise de l'homme.

Mais je trouve dommage de stopper sa lecture à cause des fautes. Après chacun son argument de jugement.