Les moyens utilisés sont rarement justifiés par la fin.
Les intentions des Garlemaldais sont peut être motivées par des raisons qui leur sont nobles, mais objectivement, il est difficile de considérer leurs actes comme tel. La catastrophe de Bozja est un exemple qui donne le ton.
Si l'on regarde ces évènement d'un regard avisé et fédérateur, le Bien n'est pas envisageable.
Cela me fait penser à l'obsession d'Hitler pour le peuple juif. Les traitements infligés sont-ils justifiés par le fait qu'ils étaient propriétaires des plus riches boutiques de Berlin ?
Je ne crois pas